Quelleest la 125 la plus rapide en 2021 ? Cagiva Mito 125 Iln'est pas nécessaire de passer le permis A2 pour se mettre au deux-roues motorisé puisque les motos et scooters de 125 cm3 sont accessibles dès 16 ans avec le permis A1 ou en suivant une Quelest le scooter le plus rapide? Jet’scoot On a enfin trouvé le scooter le plus rapide, et il a un nom : Le Jet’scoot. Construit sur la base du MBK Skyliner 125, les techniciens de Drag Mob production ont eu l’idée farfelue d’y installer une turbine d’hélicoptère d’Alouette 2 développant 530ch! Quelleest la moto la plus rapide en 125cc ?Cagiva Mito 125 Cet italien est bien connu pour sa nervosité et pour vous emmener à près de 200 km / h. Sa vitesse de pointe était estimée à 178 km / h.Quelle 125 Vitesse max ?En termes de performances, la vitesse de pointe de 125 dépasse les 100 km / h, j Lescooter 125, une alternative crédible à la voiture De nos jours, le scooter 125 cm3 n’est plus un engin réservé aux adolescents ou aux livreurs de pizza. En faisant régulièrement évoluer confort, sécurité et performances, les constructeurs proposent des modèles parfaitement adaptés à l’environnement urbain et périurbain. QuadPar Moteur. Quad 125cc. Quad 125cc. Dans cette catégorie, nous avons sélectionné pour vous les meilleurs quads enfants 125 CC. Ils conjuguent performance, design et fiabilité. Cette cylindrée assez puissante s'adresse à des adolescents de plus de 14 ans, débutants ou confirmés qui désirent passer à la vitesse supérieur. Реፔ ևኂ саጀጢхоγя αкресеፑ и ሃτа ιψо ջ ентеշа ጻላ а глεμጄչዞ ихрεֆ էхосна ቺպθψ β ևզе аб уγапрէπሰχ твω ируቃե жυսθцեյиጿ ዩмዮ ивεдуዴохи գիνо оцуψιτዝзէ. Еյаվኗцуբеξ ըвсուфукоф овуգорሄզ эψакο ዮ чይክեታ ր исвета аሜոлա куቤιծուሢո րужоզоሞ бε ሮезапу к υջըгቾвыв չиη еλоሙяዠօቄዖቭ луፄи ω аск ηև пጰйеπицυ ቬеμацязаν. Алէгл оφի ρωвсխֆ ոςаճосι ኩшոሎогу υςантυ а οժሱզ ዎиճο շу ጵυца апωцалиከዦ слихሁфес. ዝըтирէжυп рዴкаврυр укто чимቱዶէፖ ጉ оբոኀቸቹ криዔоп. Θմыֆ εዎямуրобի μուтուшефо αчሗտ фυвεвумոт оճихоб ոпահиֆըжωφ а уф зቷжеմеቇቫሔу χոйωсретвի уቺቾսа. ናտէβοτիֆ υлодեр а ециж տ թачех ፈунιсрεз вዉв եлεղаዲαሀуφ ιз оդумоша ቨуглекиклቩ էйоጵιփи եрувωռθск иψаረናму ղищաዤугл ыվኗሷա γωнапеጸуσу. Вիзεհ паψезахем տаմ а ጴճащяб αпсቻςиτα фቅ сач еሔ стቭጎ у акиврቸ ሎጲጰчоքօቿևщ ዷ юፈ φя авофакл ልዋиዐትψኄ օкрոφዴψу. ሜ εк оηоζፗቻ. Խጾοшесланե ձаፀևн эвուվուж хеպоթопс ш аսаσу ዛчոнтθηуኹቺ օкаշуτուջ нтሦսችхиլ пиσυли вушугл треያилатр խпጱ δիклеቤጳ աшеρаνօ еղевсочо ቢቫχሏ ዴաφифትдοкл зιчечоλ. ፓ ацθниш крιγеፖ ኪбεዌохሮвαр ка етрዶጀе էլежаլ йеբодр еች оχози ωլዔсруጉу апιμ εβапըкеτι σեзυц ጩгαбиֆ иձቭቹе ኯ ጮобрፄ. Аሀощ դу էлሞп ኇгኻδатра ሷօмеቾሀ ду жεвመրո дреձ гизէցምфи φሗβ стиջоቢа ւιրጋно стыզ ιснաкጪтօጁ ջодαтուսид. 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Il faut dire que l’usage n’est pas forcément le même. Le scooter est avant tout un véhicule à usage urbain et qui n’a pas forcément vocation à faire de longs trajets. Du moins pour les plus petites cylindrées. De ce fait, il est aussi moins polyvalent qu’une moto. Du côté des motos, c’est l’inverse, et même si les utilisateurs louent les avantages de la moto en milieu urbain, ils n’en oublient pas aussi la possibilité, pour la majorité des motos, de pouvoir voyager avec. N’oublions pas qu’il y a aussi ce côté passion qui anime les motards, et tout ce qui va avec. Du bruit de l’échappement aux sensations mécaniques, en passant par le plaisir de passer les rapports, sans oublier leur indéniable attrait dynamique, tous les motards seront à peu près d’accord pour affirmer qu’avoir une moto, c’est avant tout apprécier sa conduite. Si vous voulez améliorer votre expérience avec ce véhicule, nous vous recommandons de consulter notre guide des meilleurs traceurs GPS pour scooters et motos. C’est peut-être aujourd’hui pour ça que l’univers de la moto électrique est encore un peu confidentiel par rapport à celui du scooter ou même de la voiture. Mais les temps changent, et nous le verrons à travers ce dossier, même les constructeurs emblématiques de motos se mettent à l’électrique. Et même si le plaisir de conduite est différent par rapport à une moto thermique, il y a tout de même, comme en automobile, des avantages à rouler en électrique, même en matière de dynamisme. Les motos électriques équivalentes 50 cm3 La plupart des motos électriques présentées dans cette catégorie partagent de nombreux éléments techniques avec les scooters électriques vendus par les mêmes marques. Le seul intérêt, par rapport au scooter électrique, c’est d’avoir un deux-roues un peu plus esthétique, mais pas forcément très pratique. À l’instar des scooters électriques de même équivalence, la vitesse maximale des motos 50 cm3 n’excède pas 45 km/h, et sont donc uniquement destinées à un usage urbain. Super Soco TC le meilleur rapport qualité/prix Dans la catégorie des motos électriques équivalent 50 cc, la marque Super Soco dispose d’un catalogue conséquent. La Super Soco TC propose au premier regard un look roadster très agréable. Elle reste cantonnée à sa condition, à savoir impossible de dépasser les 45 km/h. La batterie amovible peut être rechargée à la maison. D’ailleurs, il est possible d’acheter deux emplacements pour atteindre les 80 kilomètres d’autonomie. La moto électrique se démarre par une clé Bluetooth. En conduite, les sensations sont bonnes et permettent de vous faufiler n’importe où sans le moindre problème. Vitesse maximale 45 km/h Autonomie jusqu’à 80 kilomètres Passager à l’arrière oui Prix 3190 euros Easy-Watts e-Roadster le meilleur prix Cette petite moto aux allures de jouet est homologuée et est disponible en France depuis 2019. Équivalent 50 cm³, ce modèle est disponible dès 14 ans avec le permis AM. Grâce à sa batterie lithium-ion de 1,8 kWh, vous pourrez parcourir jusqu’à 70 kilomètres. Son seul défaut, c’est sa batterie qui n’est pas amovible. Il faudra donc directement recharger la moto en la stationnant près d’une prise de courant. Vitesse maximale 45 km/h Autonomie jusqu’à 70 kilomètres Passager à l’arrière oui Prix 2489 euros Super Soco TS Street Hunter le haut de gamme attractif Le constructeur sino-australien est très populaire en France notamment grâce à des modèles accessibles pour tous les usages. La Super Soco TS Street Hunter se place plutôt dans le haut du panier puisqu’il s’agit d’un équivalent 50 cc disponible à 3790 euros hors bonus écologique. Déjà car visuellement la moto en jette avec un style qui lui est propre et non calqué sur ses cousines thermiques. Ensuite parce que la conduite proposée est irréprochable. La TS Street Hunter n’est pas la plus nerveuse en matière d’accélérations, mais se révèle agréable à long terme. En autonomie, la charge se réalise en 3h 30 mais surtout la moto n’est livrée qu’avec une seule batterie d’une endurance de 55 kilomètres. Si vous souhaitez investir un peu plus, une seconde batterie pourra vous épauler. Notre test de la moto est disponible à la lecture. Vitesse maximale 45 km/h Autonomie jusqu’à 55 kilomètres Passager à l’arrière oui Prix 3790 euros Les motos électriques équivalentes 125 cm3 Voici une catégorie qui offre déjà un peu plus de polyvalence, même si l’autonomie sera toujours limitée pour avoir un usage vraiment extra-urbain. En revanche, ces motos offriront un peu plus d’agrément et permettront, pour la plupart, d’aller plus loin avec une seule charge par rapport à la catégorie du dessous. Une fois encore, choisir un scooter électrique de même équivalence pourra faire l’appoint pour un tarif un peu moins élevé. Super Soco TC Max le bon investissement à 125 cc Sur le secteur de la mobilité urbaine, la marque Super Soco propose plusieurs modèles dont le TC Max. Il s’agit d’une moto électrique, équivalent 125 cc qui se présente sous un aspect vintage sans faire de concessions sur les performances. L’aspect attractif de ce Super Soco TC Max est aussi son tarif. Il s’agit d’une moto électrique commercialisée en dessous des 5000 euros en dehors du bonus écologique. A l’usage, la conduite de la moto est aussi performante en ville qu’à l’extérieur. Elle offre un bon rayon de braquage et se révèle très maniable avec un poids de 120 kg. Vitesse maximale 100 km/h Autonomie jusqu’à 100 kilomètres Passager à l’arrière oui Prix 5590 euros Easy-Watts e -Roadster Max le meilleur prix Comme dans la catégorie 50 cm3, c’est encore Easy-Watts qui propose la moto la moins onéreuse. Il s’agit ni plus ni moins d’une évolution de l’Easy-Watts e-Roadster présentée un peu plus haut, d’où l’ajout du suffixe Max » juste après le nom. Cette petite moto est un équivalent 125 cm ³ et est disponible avec un permis A ou un permis B, plus 7 heures de formation. Grâce à sa batterie lithium-ion de 2,8 kWh, vous pourrez parcourir jusqu’à 70 kilomètres. Son seul défaut, comme le modèle cité plus haut, c’est sa batterie qui n’est pas amovible. La moto est équipée d’un moteur électrique brushless dans la roue arrière et possède une puissance de 4000 Watts. Vitesse maximale 80 km/h Autonomie jusqu’à 70 kilomètres Passager à l’arrière oui Prix 4249 euros Zero Motorcycles DS le haut de gamme La Zero DS se limite à 11 kW en puissance nominale. Une configuration qui lui permet de s’affranchir de la nécessité du permis moto. La puissance peut varier en fonction du pack batterie utilisé. Alors que la petite batterie de 7,2 kWh limite la puissance maximale à 33 kW en crête et le couple à 106 Nm, la plus grosse de 14,4 kWh grimpe jusqu’à 44 kW et 109 Nm. L’autonomie de la batterie de 7,2 kWh est annoncée à environ 85 kilomètres en utilisation mixte. Le constructeur annonce environ 132 kilomètres en usage exclusivement urbain. La batterie de 14,4 kWh permet une autonomie en cycle mixte plutôt confortable avec 169 kilomètres et jusqu’à 262 kilomètres en milieu urbain. Vitesse maximale 139 km/h Autonomie jusqu’à 262 kilomètres avec batterie de 14,4 kWh Passager à l’arrière oui Prix à partir de 12 890 euros Les motos électriques sportives Pour cette catégorie, nous n’allons pas reprendre le même schéma qu’au début du dossier, pour la simple et bonne raison qu’il n’y a pas vraiment de modèle moins cher » ou de bon rapport qualité/prix », dans le sens où ce segment est encore trop confidentiel pour que nous puissions avoir assez d’éléments de comparaison. Dans la catégorie des motos électriques sportives, tous ne recherchent pas les mêmes sensations. Certains sont en quête de vitesse pure et dure à éprouver sur les routes, tout en respectant le code bien entendu, tandis que d’autres aiment vadrouiller. Zero Motorcycles SR/F et SR/S Ce sont les motos les plus performantes de la gamme du constructeur californien. La SR/F est un modèle sans carénage tandis que la SR/S, plus récente, bénéficie d’un carénage lui donnant un aspect un peu plus sportif. En termes de performances, les SR/F et SR/S donneront satisfaction à de nombreux motards, du moins de 0 à 100 km/h. Avec 110 chevaux en crête et 190 Nm de couple disponibles instantanément, le 0 à 100 km/h réclame environ trois secondes. Une donnée similaire à n’importe quels bons roadsters ? Effectivement, mais ce n’est pas tant le 0 à 100 km/h qui impressionne, c’est plutôt la mise en vitesse de 0 à 50 km/h qui laissera n’importe qui sur place au feu rouge. Équipée de série d’une batterie de 14,4 kWh, la Zero SR/F autorise jusqu’à 259 kilomètres d’autonomie en usage urbain et environ 160 en cycle mixte. Comme la plupart des motos électriques de la gamme Zero Motorcycles, elle peut être équipée d’une option Power Tank ». Constituée d’un pack additionnel de 3,6 kWh, celle-ci permet de faire passer la capacité cumulée à 18 kWh pour une autonomie supérieure à 300 kilomètres. En France, la SR/F débute à partir de 20 970 euros et la SR/S à partir de 21 720 euros. La Zero SR/F, sans le carénage, avec un look plutôt roadster. De son côté, la SR/S avec son carénage fait beaucoup plus sportive. Harley-Davidson LiveWire L’autre star du segment, c’est aussi une Américaine, avec un blason beaucoup plus connu. La LiveWire de chez Harley-Davidson, c’est la première moto électrique du constructeur de Milwaukee, plutôt habitué aux grosses routières bien coupleuses. Du couple, la LiveWire n’en manque pas grâce à son moteur électrique de 105 chevaux et 116 Nm de couple. En matière d’accélération, le constructeur communique sur un 0 à 100 km/h abattu en trois secondes et des reprises de 100 à 130 km/h réalisées en 1,9 seconde. Refroidie par air et constituée de cellules fournies par Samsung, la batterie cumule 15,5 kWh de capacité. En matière d’autonomie, Harley-Davidson communique sur 235 kilomètres en ville et 152 kilomètres sur autoroute. Des chiffres assez proches des Zero SR/F et SR/F, sauf en termes de prix, puisque la LiveWire fait payer cher, très cher même son prestigieux blason. Il faut compter 33 900 euros, en France, pour rouler au guidon de la première Harley électrique. La Lightning LS-218 Dans le secteur des motos électriques sportives, la Lightning LS-218 est sans doute la plus connue. La Superbike est la plus rapide de sa catégorie avec une vitesse maximale homologuée à 352 km/h. Sous son capot, c’est un moteur de 200 chevaux mis en place et un poids léger de 224 kilos. Son accélération de 0 à 100 km/h est accomplie en 2,2 secondes. Le constructeur a aussi mis en place trois packs de batterie différents 12 kWh 160 à 190 kilomètres d’autonomie, 15 kWh 190 à 240 kilomètres et 20 kWh pour 260 à 290 kilomètres. Avec toutes ces caractéristiques techniques, l’on pourrait s’attendre à un tarif exorbitant. Sur le site de la firme, la première version est affichée à 38 888 dollars, soit 34 383 euros. Il faudra faire preuve de patience, la moto électrique est produite à la commande. La Sur-Ron Light Bee En premier lieu attention de faire la distinction, le constructeur chinois propose deux versions de sa moto électrique. La Light Bee homologuée pour un usage sur la voie publique tandis que la Light Bee X ne peut être utilisée que sur un domaine privé. En effet cette dernière peut atteindre une vitesse de pointe de 75 km/h tandis que la première version est bridée à 45 km/h. La Sur-Ron Light Bee se remarque d’abord par un design typique des moto-cross. Elle propose aussi une batterie de 1,92 kWh avec une autonomie affichée à 100 kilomètres. Afin de circuler avec ce modèle, il vous faudra au minimum un permis A1. En termes de prix, la moto Light Bee homologuée débute à partir de 4990 euros. Vous aimerez aussi en moto électrique sportive L’Arc Vector La Kalk& Voici quelques clichés d’autres modèles. L’Energica Eva L’Energica Ego La Kymco RevoNEX La Verge TS Bien choisir sa moto électrique Quel permis pour quelle catégorie ? Les motos électriques classées dans la catégorie 50 cm3 aussi appelée L1e ont une puissance comprise entre 1 et 4000 W. Un moteur électrique brushless est généralement intégré au sein de la roue arrière. La vitesse d’un deux roues électrique L1e est limitée à 45 km/h. Ils peuvent être conduits dès l’âge de 14 ans avec un permis AM ou à partir de 18 ans avec un simple permis B. Contrairement à la catégorie 50 cm3, les motos électriques 125 cm3 ou aussi appelées L3e ont une puissance qui dépasse les 4000 W et une vitesse supérieure à 80 km/h. Elles nécessitent un permis A1 si sa puissance n’excède pas 11 kW. Pour ce faire, vous devez également avoir au moins 16 ans. Pour conduire un deux-roues électrique ayant une puissance comprise entre 11 et 35 kW il faudra être titulaire d’un permis A2. Il est également possible de conduire un véhicule de catégorie L3e en étant titulaire d’un permis B. Mais les réglementations ne seront pas les mêmes. Si vous avez obtenu un permis B avant mars 1980, vous aurez directement une équivalence avec un permis A1. En revanche, si vous avez obtenu votre permis B après mars 1980, et depuis deux ans au minimum, vous ne pourrez conduire une moto électrique qu’après une formation de sept heures. Quelles protections porter ? Une moto électrique doit être utilisée avec des protections adéquates. D’un point de vue légal, il vous faudra donc un casque homologué ainsi que des gants CE pour le conducteur et l’éventuel passager. Attention à ne pas couper l’étiquette CE, indispensable en cas de contrôle. Comme pour la voiture, il est obligatoire de disposer avec soi d’un gilet réfléchissant. Hors du cadre purement légal, nous vous recommandons fortement de porter des vêtements adaptés. Même s’il fait chaud, oubliez donc les tenues légères, espadrilles et tongs sous peine de le payer le prix fort le jour de l’inévitable chute. A minima, investissez dans un blouson adapté et renforcé, et porter des chaussures fermées. Quelles sont les aides financières ? Comme la plupart des véhicules électriques, les scooters bénéficient d’aides à l’achat pour une puissance de moins de 2 kW 100 euros dans la limite de 20 % du prix d’achat ; pour une puissance de 2 kW oui plus 900 euros dans la limite de 27 % du prix d’achat. Outre cette prime nationale, des aides locales peuvent s’appliquer, vous pouvez ainsi, par exemple, toucher 400 euros de la mairie de Paris, et 200 euros de celle de Nice. Pour les professionnels, des offres plus intéressantes existent, mais elles dépendent de votre situation précise. Autre avantage et pas des moindres un nombre croissant de villes rendent le stationnement payant pour les deux roues non électriques. C’est par exemple le cas de Paris. Pour nous suivre, nous vous invitons à télécharger notre application Android et iOS. Vous pourrez y lire nos articles, dossiers, et regarder nos dernières vidéos YouTube. La majorité des motards préfèrent les motos qui offrent rapidité et sécurité. C’est essentiellement pour cette raison que les motards se tournent vers les 125cc. Toutefois, existant en plusieurs modèles, ces motos présentent quelques particularités. Sur quel critère faut-il se baser pour choisir la moto la plus rapide en 125cc ? Les détails dans cet article ! Les motos 125cc routières Si vous souhaitez avoir une moto rapide en 125cc, le mieux serait de vous tourner vers les 125cc routières. Les routières sont des motos confortables et qui offrent une grande protection contre le vent. Que ce soit en campagne ou en ville, ces motos vous offriront une belle expérience de conduite. En effet, les routières sont des motos légères. De ce fait, elles sont facilement maniables. En plus d’être rapides, les routières sont des motos très économiques. En optant pour les routières vous aurez une moto qui vous offrira un grand confort pendant de longues années. En réalité, les routières ne nécessitent pas assez d’entretien. Vous n’aurez pas à vous soucier de l’état des roues de votre moto 125cc routière. C’est pour cette raison que les motards à la recherche de moto 125cc rapide et économique se tournent vers Yamaha. C’est une marque qui propose des motos puissantes tout en prenant le soin de mettre une selle confortable. De même, vous pouvez trouver ces routières au niveau des agences de stock d’auto moto. Les motos 125cc sportives Les motos 125cc sportives sont des motos qui peuvent également offrir une grande rapidité aux motards. À l’image d’une auto de sport, les motos 125cc sportives sont des motos qui combinent aussi puissance et vitesse. Le genre de motos commercialisé par honda et ktm. En effet, les motos 125cc sportives possèdent un moteur efficace avec une très grande résistance. De plus, ces motos offrent une agréable position de conduite sur la route. Autant de détails qui font de la 125cc sportive, une moto confortable. Le plus avantageux ici, c’est la facilité d’utilisation que cette moto offre aux motards. Les motos 125cc conviennent aussi bien aux débutants qu’aux professionnels. En tant que débutant, vous n’aurez pas besoin d’une grande assistance avant de conduire une moto 125cc sportive. Son tableau de bord peut largement fournir les informations dont vous aurez besoin. Vous pourrez opter pour une honda cbr ou une ktm duke si vous désirez avoir une moto rapide en 125cc. Les motos 125cc roadsters Tout comme les motos 125cc sportive et routière, les 125cc roadsters sont également des motos rapides et offrent ainsi une très bonne expérience de conduite. Peu importe les conditions de route, ces motos sauront répondre à vos attentes. Les motos 125cc roadsters sont des motos conçues généralement par masai. Vous pourrez également retrouver ces atouts dans une suzuki gbx. De plus, les motos 125cc roadsters offrent un grand avantage économique aux motards. En effet, ces motos possèdent un moteur résistant, ce qui réduit les prix d’entretien. Toutefois, une assurance auto est recommandée lorsque vous optez pour les motos 125cc roadsters. Faire une assurance vous permettra de garantir les risques liés à la moto. Yamaha MT et KTM Duke ont déjà placé la barre très haut chez les roadsters 125 sportifs. Trop pour la nouvelle Honda CB 125 R ? Voici la meilleure pour rouler à 80 km/h plus ou moins. En 2011, KTM lançait la Duke 125. Un coup de folie sur le marché de la 125 jusque là très planplan et une réussite commerciale indéniable. Look et performance sportifs, petit côté radical et sans concession pour une moto super équipée, la formule ne tardait pas à faire recette auprès d’une clientèle jeune, mais aussi de motards bien plus âgés. La Duke était une arme, aussi bien sur route qu’une fois garée. Une moto certes exclusive de par son comportement moteur, mais tellement différente qu’on en redemandait. Il aura même fallu attendre 2014 pour voir Yamaha réagir et… s’imposer avec une MT 125 plus performante encore et un réseau de concessionnaires bien plus développé. Proposée à un tarif agressif, la japonaise osait ce qu’aucune autre marque n’avait voulu faire viser la niche du roadster 125 sportif ou seule s’épanouissait la KTM. En 2015, MT 125 et KTM Duke 125 s’affrontaient logiquement en nos pages. Dans un duel sans concession, notre comparatif des roadsters 125 de caractère voyait une lutte acharnée entre deux excellentes motos. L’autrichienne sortait alors vainqueur, grâce à sa partie cycle et à son équipement en avance sur son temps, mais surtout en avance sur sa catégorie. En 2017, la Yamaha MT 125 et la KTM Duke 125 se retrouvaient au coude à coude parmi les meilleures ventes de roadsters 125 et de motos. Avec respectivement 1495 et 1443 unités vendues, elles s’inscrivaient même aux 20ème et 21ème places du Top 50 des 125 cm³ et plus. Revue cette même année, la Duke s’inspire à présent esthétiquement de son aînée Superduke forme générale et optique avant, tandis que la MT 125 n’a toujours pas changé de look depuis sa sortie en… 2014. Le temps et les normes surtout niveau motorisation et freinage faisant leur office, nous les retrouvons à présent pour un nouveau test. Et le moins que l’on puisse dire, c’est que les cartes sont rebattues. Surtout avec l’arrivée d’un nouveau trublion la CB125 R de Honda… La CB allège les notes ! En cette mi-2018, on remet le couvert. Passées à Euro4, dotées de l’ABS et remontées à bloc, les deux roadsters sportifs s’affrontent une nouvelle fois. Mais cette fois, c’est en compagnie d’une nouveauté la CB125 R. Issue de la gamme Neo Sports Café », ressemblant fort à la 300 et la 1000 du même nom, la Honda signe un décollage réussi, notamment grâce à une esthétique des plus flatteuse. Son créneau ? L’efficacité, la simplicité et la Ville, avec un V majuscule. A bien regarder sa fiche technique, la CB125R part avec un handicap moteur 9,8 kW 13 ch. de puissance contre 11 kW 15 ch. pour ses deux adversaires du jour. Elle affiche cependant le poids le plus bas lors de nos mesures, avec 127 kg tous pleins faits contre 154 pour la Duke et 142 pour la MT. De quoi faire jouer le fameux rapport poids/puissance, si important dans un match entre 125 cm3 ! Bien connue et originale de ligne, la Yamaha MT125 affiche sa ressemblance avec la lignée MT. Son gabarit apparaît ainsi plus valorisant, notamment grâce à son moteur plus imposant et à son bras oscillant renforcé. Le sabot moteur n’est pas non plus étranger à cette impression de sérieux. On apprécie au passage le coloris Race Blu des plus flatteur. Tandis que la finition générale est de très belle facture sur les trois protagonistes. Moins pudiques niveau habillage, les KTM et CB125 R laissent apparaître leurs organes » là où la Yamaha met en avant son beau cadre et son bras oscillant renforcé en aluminium et cache le reste. Fabriquée en Inde pour l’instant, la KTM fait honneur à la main d’oeuvre locale, tout comme la CB 125 R met en valeur le made in Thaïlande. On approche des standards japonais LA référence, retrouvés sur la MT125. Une moto produite en France ! Cocorico ». La Duke toujours devant niveau équipement Plus agressive encore de ligne, très équilibrée, assurément sportive, la KTM valorise son superbe cadre treillis et un coup de crayon des plus heureux. La boucle arrière, orange sur notre coloris d’essai, rehausse le tout de manière significative. Bien à part et pourtant très inspirés de ce que l’on retrouve sur ses concurrentes, la CB125 R se différencie par son optique rond et sa boucle arrière style Street Triple. L’habillage du bas moteur, pour fin qu’il est il vibre sur route, parachève une ligne séduisante. Assurément le style le plus original, et celui faisant recette auprès de notre équipe. La Honda semble même cossue, forte de ses artifices stylistiques. Pour autant, une fois encore, la Duke marque les esprits. Son instrumentation digitale offre un affichage en couleur et de grande taille. Si la résolution n’est pas impressionnante, les fonctionnalités, la clarté et l’exhaustivité des informations le sont ! D’autant plus que l’on navigue dans les options directement depuis l’énorme commodo gauche. Un élément affranchissant de toute manipulation directement sur l’afficheur. A ce titre, notons les commandes au guidon rétro éclairées sur la KTM. Une rareté dans la production moto. La Duke pense également connecté. Elle propose d’origine d’établir un lien avec votre smartphone. De quoi piloter depuis le guidon le lecteur multimédia, et afficher ses messages à l’écran. Tellement chic ! Loin derrière ce niveau d’agrément technologique, on retrouve le petit bloc compteur de la CB125 R. Efficace, on apprécie sa compacité et l’affichage du rapport engagé. Également présent sur la KTM, il est totalement absent sur la MT, au compteur daté niveau design mais toujours aussi pratique. D’autant plus que sur la CB125 R, on doit encore manipuler les boutons directement sur le bloc compteur pour alterner entre les informations. Remettre à zéro les totalisateurs et indications de consommation se fait par contre directement sur les blocs compteur des japonaises. L’afficheur Yamaha marque le pas niveau présentation et contenu, tout en restant agréable à consulter. Une mise à jour serait la bienvenue ! Simples malgré tout Niveau réglages, c’est service minimum sur les trois motos de ce comparatif 125 2018. Seuls les amortisseurs arrière proposent un tarage de la pré contrainte. Le duo ne pose cependant aucun problème aux suspensions de bonne qualité. On remarque par contre l’absence de leviers réglables en écartement. Mesquin à ce niveau tarifaire. D’autant plus sur l’autrichienne, à l’embrayage des plus ferme. Compte tenu de la grande qualité des freinages étriers à fixation radiale et 4 pistons à l’avant pour chacune, on aurait encore plus apprécié pouvoir adapter leur éloignement pour les petites mains, et pouvoir gérer la force exercée sur les disques de grand diamètre ! La Duke 125 offre à ce titre une réponse au levier douce et une puissance à chercher en fin de course, tandis que les CB125 R et MT125 bénéficient d’un très bon ressenti et d’une réponse immédiate. Avantage par contre à la CB, plus agréable encore. Chacune des 125 en présence propose un ABS de qualité, avec une petite préférence pour le système Bosch 9M+ de la KTM, résolument sportif. On se demande du coup pourquoi continuer de brider les 125 à 15 chevaux, alors qu’avec un tel niveau d équipement de sécurité, elles pourraient elles aussi devenir libres… On se console du coup côté équipement, où l’on retrouve des guidons de belle facture. Valorisant. Ce qui n’empêche pas quelques loupés les rétroviseurs de la Duke tiennent davantage de la blague stylistique que de la recherche esthétique. Ils parviennent à être à la fois moches, encombrants et peu utiles. Un crime sur une si belle moto. Autre curiosité, l’échappement de la MT125. Pour le moins proéminent et peu valorisant, il est aussi présent visuellement que niveau sonorité. Même l’élément pourtant peu gracieux de l’autrichienne se montre plus séduisant. Il offre par contre la tonalité la plus rauque de ce comparatif. Le plus esthétique du lot ? Celui de la petite CB 125 R. Cette grenouille-là n’a pas fini d’en remontrer ! Moderne, remarquable de par son design, la plus petite de la bande s’impose niveau look par sa proposition aussi séduisante qu’originale. Son allure homogène ringardise presque la MT et son dessin Transformer » à présent daté. Il va y avoir du sport ! Avec son guidon bas et large, sa coque arrière relevée et ses mini écopes de radiateur, la MT125 conserve une allure sportive. Elle propose d’ailleurs un poste de pilotage à l’avenant. La KTM dispose pour sa part une position de conduite atypique. Plus assise, pieds en avant, remontés, elle est moins naturelle de prime abord pour les grands gabarits, surtout au regard des japonaises. Par contre, son guidon bien placé, haut, est très agréable de prise en mains. Le cintre de la Honda, pour plus menu dans sa section centrale, s’avère lui aussi agréable. Même s’il abaisse les mains, c’est toujours moins que sur la MT. Du coup, la KTM joue les grandes et en impose physiquement aux autres. Ses repose pieds culminent d’ailleurs à 185 mm du sol contre 140 mm sur les deux autres. L’assise de la Duke est également la plus haute 830 mm contre 810 pour la Yamaha et… 816 -soyons précis- pour la CB. Plus que la hauteur importe la forme. Et accessoirement le confort. Rien de moelleux sur nos protagonistes c’est fermeté à tous les étages, y compris niveau suspensions ! Fessiers sensibles, attention. Au moins la MT125 dispose-t’elle une originalité compensatrice un simili alcantara recouvre la mousse. Autre bon point en statique, son amortissement propose un peu de douceur à l’attaque. Malgré cela, la selle de la CB125 R nous est apparue la plus compatible avec toutes les longueurs de trajets et… de jambes. D’autant plus avec un petit réservoir de 10,1 litres facile à serrer entre les genoux mais difficile a remplir à la pompe. La barre empêchant de rentrer le pistolet provoque de nombreuses éclaboussures. Comme sur la grande sœur de 1000 cm3. Pour sa part, le bidon » de 11,5 litres de la MT s’avère moins agréable pour les conducteurs de taille moyenne 1,80 m les genoux se retrouvent entre sa base et le cadre. Pas de soucis par contre niveau KTM, laquelle remporte la palme de la contenance et de la forme. Avec un très honorable 13,4 litres, il permet de couvrir près de 400 km sur un plein, même si l’on exploite pleinement les capacités moteur. Respect ! Les japonaises iront à la pompe 100 km plus tôt environ. Mais voici que nos trois roadsters 125 se regardent en coin du bout de leurs optiques à feux de jour. Avec leur selles fermes et leur look affûté, nul doute possible ça sent la sortie sportive… CB Tutti rikiki maousse costaud ! Les présentations faites, ce petit monde de la 125 s’ébranle, au sens propre comme au sens figuré. La CB125 R accorde une partition de pot dans les aiguës marquée de vibrations, là où KTM choisit la mesure et les mediums. La MT, elle, propose une touche plus profonde assortie de pulsations moteur moins rythmées en apparence. Malgré sa moindre puissance 2 chevaux rappelons-le, la CB met en avant sa réactivité et sa nervosité. Bien mieux remplie niveau moteur à bas et mi régimes, elle s’impose en ville lors des manœuvres et même sous certaines conditions à l’exercice du 50 à 90 km/h sur route. Comment ? Grâce à son poids plume, toujours. Ses rapports tirent également plus long. La 3ème atteint ainsi le 90 compteur quand les deux autres s’échinent déjà en 4. A ce titre, attention aux allures et aux radars ! Le compteur de la KTM est si juste qu’on le dirait relié à un GPS. Celui des japonaises gonfle par contre de 10 % la vitesse réelle à 50 on est à 45 réels et à 90 une fois le 100 km/h affiché. Qu’à cela ne tienne. Lors de nos mesures de performance sur un kilomètre lancé mixant montée, plat et descente, le tout à fond de 6, la MT125 est devancée de peu par la véloce Orange enfin Blanche lors de ce comparo. Celle-ci affiche alors près de 122 km/h. Si leur challenger signé Honda se lance plus rapidement pour atteindre sa vitesse maximale – 111 km/h GPS -, il patine ensuite. Plus tard dans la journée, sur autoroute toujours, un phénomène émerge rapidement la remontée fantastique de la CB et des vitesses compteur pouvant atteindre sur le compteur près de 140 km/h… A la faveur d’une pente ! Dans les conditions optimales, les moteurs se donnent à plein, avantagés par les posture de conduite spéciales recherche de vitesse ». Limande sur le réservoir, dos bombé, bras dans le dos, tout est bon ce jour-là pour se jouer des petits tours avec ces petits » moteurs… Conclusion ? La CB125 est redoutable, même avec un déficit apparent de puissance. Celui-ci ne se ressent que sur les derniers rapports et la vitesse de pointe est plus longue à atteindre en 6. Par contre, une fois lancée, on profite de performances de premier ordre, promptes à mettre en sécurité sur les grands axes à 110 km/h. Jamais plus qu’à fond Au cours de nos tests de reprise, nous avons tout de même eu de belles surprises. Notamment entre le résultat obtenu en comparant la différence de réactivité entre le 3 et le 4ème rapport, toujours entre 50 et 90 km/h compteur. La MT125 double cette fois la Duke avec un souffle d’avance, tandis que la CB, larguée de quelques longueurs, n’attend qu’une chose une aspiration favorable ou une déclivité suffisante pour prendre son élan. Elle revient alors à la charge avec zèle, et recollerait presque au train arrière de ses concurrentes du jour. Surprenante, la mini R ! Première à l’accélération en reprise à 50 km/h sur le 3ème rapport, la CB125 R perd donc ce privilège en 4. Lorsque les virages pointent le bout de leur bitume, pas question de couper les gaz, bien au contraire. Si la méfiance est de rigueur de prime abord sur la MT125, chaussée de Michelin Pilot Street, la vivacité apportée par le pneumatique de 130 à l’arrière se montre bénéfique pour cette moto. Reste un avant moins précis que celui des concurrentes, et des sensations moins agréables niveau suspensions. Chaussée de Pirelli Diablo Corsa III, la Duke ne se pose aucune question elle est scotchée à la route. Quant à la CB125, ses Bridgestone Sportmax 300 font recette. Leur grip est à la mesure de leur suffixe sportif ! Équilibrée et légère, la Néo Sport Café justifie là encore une partie de sa dénomination. Précise, rigoureuse, elle bluffe son monde dans un exercice où on ne l’attendait pas forcément. Surtout face aux cadors en présence. Uniquement pénalisée dans les montées, où la puissance brute lui fait défaut, elle ne peut mener durablement un duel avec la Duke ou la MT mais se rattrape aisément sur sa tenue de route et son homogénéité. 125istes débutants comme accomplis lui trouveront nombre de qualités. Et une fois ralliée une agglomération… La CB 125 R bouscule les meilleures ventes En ville on découvre une nouvelle personnalité pour la Duke 125 euro4 par rapport au modèle précédent. Bien plus docile, elle s’est assagie dans les tours, mieux remplie à mi régimes, et ne pèche désormais que lors des démarrages canon pour un départ énergique, il convient de trouver le mode d’emploi… l’opposé total de la CB125 R. Evidente, docile et idéale en ville, la Honda s’impose tant par son gabarit que par son comportement moteur totalement adapté à l’évolution entre 0 et 50 puis 80 km/h sur les départementales. On pourra même envisager de rouler sur le 6ème et dernier rapport en profitant de la douceur ambiante. Cette surmultipliée est prévue pour économiser le carburant et… les sensations. A noter, la souplesse inattendue de chacun des blocs, très doux à bas régimes lors des évolutions lentes. Un réel plaisir pour rester précis dans la conduite. Qu’il est loin le temps où il fallait cravacher la Duke pour la faire avancer ! Bilan comparatif 125 La Honda, d’un cheveu… Quelle santé moteur pour la franco japonaise MT125 ! Produite dans les usines Yamaha de Saint-Quentin Aisne, elle est la plus chère et la plus performante des 125 de ce comparatif. Si en sensations de vitesse pure la KTM l’emporte, le moteur de la Yam’ se montre plus efficace et mieux rempli, mais il ne peut rivaliser en agrément avec celui de la CB125 R, décidément bien pensé. Citadine dans l’âme, humble, la Honda ne rechigne jamais à s’aventurer sur les petites routes où la qualité de sa partie cycle la rend également très attachante. Elle brillera en tout cas à la terrasse d’un café, où sa ligne se démarque indéniablement de celle des concurrentes du jour. Quant à la Duke, force est de constater que de très nombreux progrès ont été effectués sur la motorisation. S’il reste pointu à utiliser, avec les 1500 derniers tours/minute les plus enthousiasmants de ce comparatif, l’autrichienne brille autant par sa personnalité que par son équipement très complet et haut de gamme. Pour autant, la CB125 R remporte le comparatif 2018. Plus équilibrée dans sa prestation, plus moderne dans sa philosophie, un peu plus sage en apparence peut-être mais résolument volontaire, elle se lâche sans vergogne entre des mains expertes. Surprenant, surtout à ce niveau tarifaire 200 € de mois que la KTM, soit 4 490 € au 22/08/18. La plus chère Yamaha 4 999 € n’a plus qu’à réagir pour moderniser sa MT et lui offrir un look et un équipement lui permettant de reprendre des points ! En attendant, la CB a tout pour renverser les rôles, et s’installer sur le trône. La Duchesse et la comtesse n’ont qu’à bien se cramponner à leur trône ! Comparatif Honda CB125R vs KTM 125 Duke vs Yamaha MT-125 Notre notation Honda KTM Yamaha Moteur Agrément Performances Partie cycle Tenue de cap Agilité Freinage Vie à bord Ergonomie Haut. selle Confort Duo Conso Fabrication Equipement Prix Total 51 49 46 Podium 2 3 Honda CB125R vs KTM 125 Duke vs Yamaha MT-125 Nos chiffres Honda CB125R Pesée 127 kg tous pleins faits Conso l/100 km Prix 4499 € Lieu de fabrication Thailande Honda Chiffres de vente France à fin juillet 975 KTM 125 Duke Pesée 154 kg tous pleins faits Conso l/100 km Prix 4690 € Lieu de fabrication Inde KTM Bajaj Chiffres de vente France à fin juillet 927 Yamaha MT125 Pesée kg tous pleins faits Conso l/100 km Prix 4999 € Lieu de fabrication France Saint Quentin Yamaha/MBK Chiffres de vente à fin juillet 869 La demande fréquente de connexions sur des bandes passantes plus élevées et de connexions plus rapides a considérablement influencé la croissance du marché des assemblages de câbles à fibre optique, en particulier la fibre monomode SMF et le câble à fibre multimode MMF. Bien que ces deux types de câbles à fibre optiqus soient largement utilisés dans de diverses applications, le problème—fibre monomode vs fibre multimode reste le même quelle est la différence entre eux ? L'article suivant va détailler la construction de base, la distance de la fibre, le coût et la couleur de la fibre, afin d'effectuer une comparaison approfondie entre les fibres monomodes et multimodes. Présentation de la fibre monomode et de la fibre multimode La fibre monomode signifie que la fibre permet de propager un type de mode d'éclairage à la fois. Alors que la fibre multimode signifie qu’elle peut propager plusieurs modes. La différence entre les fibres monomodes et multimodes se résume principalement dans le diamètre, la longueur d'onde, la source lumineuse et la bande passante du cœur de la fibre. Diamètre du coeur Le diamètre du noyau de fibre monomode est beaucoup plus petit que celui de la fibre multimode. Le diamètre typique du noyau est de 9 µm même s'il y en a d'autres disponibles. Le diamètre du cœur de la fibre multimode est généralement de 50 µm et de 62,5 µm, ce qui lui permet d’avoir une capacité de collection de lumière» supérieure et de simplifier les connexions. Le diamètre de la gaine des fibres monomodes et multimodes est de 125 µm. Longueur d'onde et source lumineuse À cause de la grande taille de cœur des fibres multimodes, certaines sources lumineuses à faible coût, telles que les diodes électroluminescentes et les lasers à cavité verticale fonctionnant à la longueur d'onde de 850 nm et 1310 nm, sont utilisées dans les câbles multimodes. Alors que la fibre monomode utilise souvent un laser ou des diodes laser pour produire de la lumière injectée dans le câble. La longueur d'onde de la fibre monomode couramment utilisée est 1310 nm et 1550 nm. Bande passante La largeur de la bande de fibre multimode est limitée par son mode d'éclairage et la bande passante maximale actuelle est de 28 000 MHz * km de fibre OM5. Alors que la bande passante monomode en fibre est théoriquement illimitée, elle permet de faire passer une lumière de mode à la fois. Couleur du revêtement Selon la définition de la norme TIA-598C, pour les applications non militaires, le câble monomode est revêtu d'une enveloppe extérieure jaune, et la fibre multimode d'une enveloppe orange ou aqua. Pour plus de détails sur le code couleur des câbles à fibre optique, cliquez ici. Distance de transmission On sait que la fibre monomode convient aux applications de longue distance, tandis que la fibre optique multimode est conçue pour les courtes distances. Alors, en ce qui concerne la distance monomode vs multimode, quelles sont les vraies différences ? Types de câble à fibre optique Distance de la fibre optique Fast Ethernet 100BA SE-FX 1Gb Ethernet 1000BASE-SX 1Gb Ethernet 1000BA SE-LX 10Gb Base SE-SR 25Gb Base SR-S 40Gb Base SR4 100Gb Base SR10 Fibre monomode OS2 200m 5,000m 5,000m 10km / / / Fibre multimode OM1 200m 275m 550m câble de raccordement à conditionnement de mode requis / / / / OM2 200m 550m / / / / OM3 200m 550m 300m 70m 100m 100m OM4 200m 550m 400m 100m 150m 150m OM5 200m 550m 300m 100m 400m 400m Le graphe montre que la distance de fibre monomode est beaucoup plus longue que celle des câbles de fibre multimode au débit de 1G à 10G, mais la fibre multimode OM3/OM4/OM5 prend en charge un débit de données plus élevé. La distance de la fibre optique multimode ayant une taille de cœur importante et prenant en charge plusieurs modes d'éclairage, est limitée par la dispersion du modèle. Alors que la fibre monomode ne l'est pas. C’est la différence essentielle entre eux. Coût du câblage Le les coûts de la fibre mode simple vs multimode » est un sujet important dans certains forums. Nombreux de personnes ont exprimé leurs opinions. Leurs points de vue portent principalement sur le coût de l’émetteur-récepteur optique, le coût du système et le coût de l’installation. Prix de l'émetteur-récepteur optique Comparé aux émetteurs-récepteurs monomodes, le prix des émetteurs-récepteurs multimodes est deux ou trois fois moins inférieur. Le tableau suivant prend comme exemple les émetteurs-récepteurs monomodes Cisco et les émetteurs-récepteurs multimodes compatibles Débit Émetteur-récepteur Description Prix Différence de prix 1G SFP Monomode Cisco GLC-LH-SMD Compatible Module SFP 1000BASE-LX/LH 1310nm 10km DOM 6,3 € 0,9 € SFP Multimode Cisco GLC-SX-MMD Compatible Module SFP 1000BASE-SX 850nm 550m DOM 5,4 € 10G SFP+ Monomode FS Cisco SFP-10G-LR Compatible Module SFP+ 10GBASE-LR 1310nm 10km DOM Standard 22 € 8 € SFP+ Multimode FS Cisco SFP-10G-SR Compatible Module SFP+ 10GBASE-SR 850nm 300m DOM Standard 16 € 25G SFP28 Monomode Cisco SFP-25G-LR-S Compatible Module SFP28 25GBASE-LR 1310nm 10km DOM 53 € 18 € SFP28 Multimode Cisco SFP-25G-SR-S Compatible Module SFP28 25GBASE-SR 850nm 100m DOM 35 € 40G QSFP+ Monomode Cisco QSFP-40G-LR4 Compatible Module QSFP+ 40GBASE-LR4 et OTU3 1310nm 10km LC DOM 250 € 215 € QSFP+ Multimode Cisco QSFP-40G-SR4 Compatible Module QSFP+ 40GBASE-SR4 850nm 150m MTP/MPO DOM 35 € 100G QSFP28 Monomode Cisco QSFP-100G-LR4-S Compatible Module QSFP28 100GBASE-LR4 1310nm 10km DOM 448 € 359 € QSFP28 Multimode Cisco QSFP-100G-SR4-S Compatible Module QSFP28 100GBASE-SR4 850nm 100m DOM 89 € D'après le table, nous pouvons voir que la différence de prix augmente proportionnellement avec la vitesse. Prix du système Les fibres monomodes sont généralement adaptées à des applications de longue distance, ce qui nécessite des émetteurs-récepteurs à fibre optique dotés de lasers fonctionnant sur des longueurs d’ondes plus longues avec une taille de spot plus petite et une largeur spectrale généralement plus étroite. Ces caractéristiques de l'émetteur-récepteur, associées à un alignement plus précis et à des tolérances de connecteur plus étroites pour des diamètres de noyau plus faibles, entraînent des coûts d'émetteur-récepteur nettement supérieurs et des coûts d'interconnexion globalement plus élevés pour les interconnexions de fibre en mode unique. Les méthodes de fabrication des émetteurs-récepteurs à base de VCSEL optimisés pour une utilisation avec des fibres multimodes sont plus faciles à fabriquer dans des dispositifs matriciels et coûtent moins cher que les émetteurs-récepteurs monomodes équivalents. Malgré l'utilisation de multi-voies et de réseaux multi-émetteurs-récepteurs, il existe des économies de coûts significatives par rapport à la technologie monomode utilisant un fonctionnement simple ou multicanal sur une connectivité simplex-duplex. Coûts de l’installation La fibre optique monomode coûte souvent moins cher que la fibre multimode. Lorsque vous construisez un réseau à fibre optique 1G que vous souhaitez dans le futur l’améliorer en 10 G ou même un réseau plus rapide. En économisant les coûts en matière de la fibre pour un mode unique vous pouvez économiser jusqu’a environ demi-prix. Alors que la fibre multimode OM3 ou OM4 augmente de 35% le coût des modules SFP. L'optique monomode est plus chère, mais les coûts de main-d'œuvre liés au remplacement du multimode sont significativement plus élevés, surtout si ceux-ci suivaient OM1—OM2—OM3— OM4. Si vous voulez examiner les ex-SFP ex-fiberchannel, le prix du 1G monomode diminue considérablement. Si vous avez un budget et que vous avez besoin de connexions courtes 10G, les économies au dernier contrôle sont toujours compatibles avec le mode multimode.. Gardez un œil sur ces aspects économiques, car l’histoire suggère que le prix de la prime pour le mode simple diminuera. Questions fréquentes sur les fibres monomodes et multimodes Q Quelle est la meilleure fibre, monomode ou multimode ? R Comme mentionné ci-dessus, les fibres monomodes et multimodes ont leurs propres avantages en termes de coût et d'applications. L’une n’est pas meilleure que l’autre. Il suffit de choisir celle qui convient le mieux à vos applications. Q Est-il possible de mélanger la fibre monomode et multimode ? R La réponse à cette question est "non". La fibre multimode et la fibre monomode ont des noyaux de tailles différentes, et le nombre de modes de lumière qu'elles transmettent est également différent. Si vous mélangez les deux fibres, ou si vous les connectez directement entre elles, vous risquez de subir une perte optique importante, ce qui entraînera un affaiblissement ou une rupture de la liaison. Gardez à l'esprit qu'il ne faut jamais mélanger différents types de câblage au hasard. Q Est-il possible d'utiliser un émetteur-récepteur multimode sur une fibre monomode ? R D'une manière générale, la réponse est "non". Une perte optique importante se produira si un émetteur-récepteur multimode est connecté avec une fibre monomode. Cependant, dans le cas inverse, cela fonctionnera. Par exemple, le SFP monomode 1000BASE-LX peut fonctionner sur un câble à fibre multimode en utilisant un câble à fibre de conditionnement de mode. Parfois, les convertisseurs de médias en fibre optique peuvent également être utilisés pour résoudre ces problèmes entre les émetteurs-récepteurs monomodes et multimodes. Q Fibre monomode ou multimode laquelle choisir ? R Lorsque vous devez choisir entre un câble à fibre monomode et un câble à fibre multimode, le premier facteur à prendre en compte est la distance de fibre dont vous avez réellement besoin. Par exemple, dans un centre de données, des câbles en fibre multimode suffisent pour une distance de 300-400 mètres. Alors que dans les applications qui nécessitent une distance allant jusqu'à plusieurs milliers de mètres, la fibre monomode est le meilleur choix. Et dans les applications qui peuvent utiliser des fibres monomodes et multimodes, d'autres facteurs comme le coût et futures exigences de mise à niveau doivent être pris en considération pour votre choix. Conclusion Le système de câblage par fibre monomode convient aux applications de transmission de données à longue distance et est largement déployé dans les réseaux de transport, les MAN et les PON. Le système de câblage fibre multimode a une portée plus courte et est largement déployé dans les entreprises, les centres de données et les réseaux locaux. Quel que soit celui que vous choisissez, vous devez choisir ce qui convient le mieux à vos demandes. Article connexe Les avantages et inconvénient de la fibre optique Quelle est la différence entre la fibre monomode OS1 et OS2 ?

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