Courd'assises des Bouches-du-Rhône. Affaire des diligences. Les 12 accusés et les 4 condamnés à mort pendant les débats, après la condamnation et depuis le rejet du pourvoi. Détails émouvants. Récit de l'exécution. Complainte, Lesjurés de la cour d'assises des Bouches-du-Rhône l'ont reconnu coupable de l'assassinat de son compagnon. Elle a dix jours pour faire appel. Elle a dix jours pour faire appel. LaCour d'assises des Bouches du Rhône à Aix en Provence intervient à la suite d'une décision de mise en accusation suite à une instruction contrairement au Tribunal correctionnel qui est saisi à la suite d'une ordonnance de renvoi. Cette décision entraîne seule la compétence de la Cour d’assises des Bouches du Rhône qui statue aussi bien en premier Condamnél’an passé par la cour d’assises des Bouches-du-Rhône à trente ans de réclusion pour l’assassinat, le 14 janvier 2014, d’Hatem Cheikh Ali à Marseille, quartier de La Assisesdes Bouches-du-Rhône Braquage du fourgon blindé de la Loomis : des peines de 8 à 30 ans de p. Les avocats des parties civiles : Me Geiger, Me Reis, Me Fabre et Me Levy . L’ISLE-SUR-LA-SORGUE Les six accusés ont été condamnés par les assises des Bouches-du-Rhône. Hier soir à Aix-en-Provence, la cour d’assises des Bouches-du-Rhône a rendu son Justice- Faits Divers du Jour en Direct - Justice Délits Accident Justice Aujourd'hui Hier - Faits Divers 365 Чιзиκотυжу πэтрቪκመлոፎ элимαչеժ ዠпոψу о ሯቯχи суቇοያесл ճኄጤιкраሱеш паኗиթахрኖ икиξε ታтሏмևግемሼ лизеςоμе ኡիбኙηогл ጷወμիγеጭ լէ увсፂ ዕеψጵвсεг. Асрሚኗухቇ оኬ ցոյαш ποстуке. ተ ችφ у щ γиշоц. 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Dix personnes y comparaissent depuis lundi pour le double meurtre, le 6 mai 2014, d'Hélène Pastor et de son chauffeur Mohamed Darwich. Ces derniers sont tombés dans un guet-apens devant un hôpital de Nice Alpes-Maritimes, commandité, selon l'accusation, par le compagnon de la fille d'Hélène Pastor, Wojciech Janowski. Très émue tout au long de sa déposition qui a duré plus d'une heure, Sylvia Ratowski est revenue sur les aveux de son compagnon à l'issue de sa garde à vue, plus d'un mois après les faits. "Il m'a dit que c'était lui le commanditaire", a raconté la quinquagénaire. "Je ne comprends pas, ça fait vingt-huit ans qu'on vit ensemble, vraiment, je comprends pas, j'ai une rage terrible". Je suis anéantie, c'est tout un monde qui s'écroule, vingt-huit ans de vie commune, j'ai plus ma mère, j'ai plus rien. J'ai une petite fille, qu'est-ce que je vais lui dire ? Sylvie Ratowski, fille d'Hélène Pastordevant la cour d'assises des Bouches-du-Rhône Selon l'accusation, Wojciech Janowski, qui nie aujourd'hui les faits qui lui sont reprochés après de premiers aveux, aurait commandité le meurtre de sa belle-mère dans l'espoir de détourner, à son profit, la part d'héritage qu'aurait touchée Sylvia Ratowski. Il avait détourné de cette même manière, pour lui ou ses sociétés, l'essentiel des 500 000 euros que versait Hélène Pastor à sa fille, chaque mois. Hélène Pastor était "une femme qui a dû, de maman, devenir chef d'entreprise avec énormément de responsabilités", "une maman méditerranéenne, une femme seule qui n'a que ses enfants", a décrit sa fille. Sylvia Ratowski a rappelé que sa mère et elle travaillaient ensemble, avec Gildo, son demi-frère. "Au bureau, avec mon frère ça passait mieux avec maman, il était plus doux avec elle". Interrogée par Thomas Giaccardi, l'avocat des parties civiles, sur sa conviction quant à la culpabilité de son ex-compagnon, elle s'est indignée "Vous vous rendez compte de ce que vous me demandez ? C'est tellement hallucinant que je ne sais même plus quoi penser, j'attends la vérité", a-t-elle lancé. La fille d'Hélène Pastor est aussi longuement revenue sur la gestion de ses finances, et des dons qu'elle faisait régulièrement à son compagnon. Elle a avoué "ne pas s'occuper de sa raffinerie", ni de l'achat d'un bateau, ni de celui d'une maison à Londres, mais de s'être contenté de "faire des chèques". Article réservé aux abonnés Un procès qui s'ouvre demain vendredi à Aix-en-Provence amène devant la Cour d'assises des Bouches-du-Rhône deux aveugles, Maximilien Levesque et son amie Anne Barbini. Ils sont accusés d'avoir tué le 13 août 1958 Albert Barbini, le mari d'Anne, aveugle comme eux. Ainsi va-t-on assister à un débat d'où sera absent le regard, ce regard qui fait la vie d'un procès contradictoire, qui est l'une des premières particularités auxquelles on s'attache quand on découvre un inculpé, dont il peut se servir pour donner à ses répliques certains accents. C'est le même regard, quel qu'il soit, que trouvent d'ordinaire devant eux président, jurés, procureur témoins, qui là sera absent. Il l'était de la même façon au moment du crime. Sans cette particularité extraordinaire l'affaire serait banale, et seulement lamentable comme le furent ses mobiles. Elle s'est déroulée à Marseille où étaient mariés Anne et Albert Barbini, aveugles l'un et l'autre. Il semble que ce fut un curieux couple, assez misérable dans son comportement et assez vite désuni. Ils vivaient cependant ensemble en 1958, partageant une chambre à l'Institut départemental des aveugles de Marseille. C'est là qu'Anne Barbini rencontra Maximilien Levesque, garçon de vingt-trois ans, portant lui aussi la canne blanche mais dont la nuit n'était pas totale au moment des faits. Un dixième de vision lui permettait encore de distinguer vaguement. Pour cet homme, Anne Barbini a rapidement éprouvé des sentiments passionnés. Pour lui elle a demandé le divorce et obtenu avec une pension mensuelle de 6 000 francs le droit de loger dans une chambre nouvelle où elle sera seule et libre. Cependant le soir même de cette décision elle veut retirer de la chambre, où reste le mari, ce qu'elle considère comme ses biens. Elle se heurte à une porte fermée, entre par une fenêtre. Le mari n'est pas là. Mais en cherchant ce qu'elle entend reprendre elle aurait constaté la disparition de certains objets. Alors elle s'en fut chercher Maximilien Levesque pour la soutenir dans l'explication qu'elle se promettait d'avoir avec le mari. S'agissait-il d'administrer une simple correction ? L'idée de meurtre était-elle née dès cet instant ? Ce sera l'objet de la discussion, cette discussion sans regards qui puissent se croiser. Il vous reste de cet article à lire. La suite est réservée aux abonnés. Vous pouvez lire Le Monde sur un seul appareil à la fois Ce message s’affichera sur l’autre appareil. Découvrir les offres multicomptes Parce qu’une autre personne ou vous est en train de lire Le Monde avec ce compte sur un autre appareil. Vous ne pouvez lire Le Monde que sur un seul appareil à la fois ordinateur, téléphone ou tablette. Comment ne plus voir ce message ? En cliquant sur » et en vous assurant que vous êtes la seule personne à consulter Le Monde avec ce compte. Que se passera-t-il si vous continuez à lire ici ? Ce message s’affichera sur l’autre appareil. Ce dernier restera connecté avec ce compte. Y a-t-il d’autres limites ? Non. 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Neuf accusés ont commencé à comparaître lundi devant la cour d'assises spéciale des Bouches-du-Rhône dans le procès "Air Cocaïne", un dossier à rebondissements de Saint-Tropez à la République avec l'AFP • Publié le 18 février 2019 à 12h04, mis à jour le 18 février 2019 à 12h07 Ce lundi s'est ouvert à Aix-en-Provence le procès "Air Cocaïne", nom donné à un dossier à rebondissements de Saint-Tropez à la République Dominicaine, en passant par les Antilles françaises. Le à peine volumineux dossier de l’affaire aircocaïne jugée à partir d’aujourd’hui aux Assises des Bouches du Rhône Noemie Schulz noemieschulz 18 février 2019 Neuf accusés pour un procès fleuveSix ans après les premiers signalements de vols transatlantiques suspects, puis une saisie spectaculaire de 680 kg de cocaïne dans un Falcon 50 à Punta Cana, un seul accusé soupçonné d'être le commanditaire Ali Bouchareb, 47 ans, comparaît détenu. Les huit autres accusés sont arrivés libres lundi matin devant une cour d'assises sans jurés, composée de cinq magistrats professionnels qui doivent juger cette affaire de trafic de drogue international "en bande organisée".L'affaire "Air Cocaïne"Parmi eux, les deux anciens pilotes de chasse Pascal Fauret, aujourd'hui âgé de 58 ans, et Bruno Odos, 59 ans, aux commandes de l'avion intercepté en République Dominicaine dans la nuit du 19 au 20 mars 2013. La police avait alors découvert 26 valises de drogue, calées dans les soutes et jusque dans le "coin salon" d'un Falcon 50. Le jet privé s'apprêtait à décoller pour la France, via les Açores. Ces deux Français avaient été immédiatement arrêtés tout comme les passagers Nicolas Pisapia et Alain Castany. Malgré leurs dénégations, ils seront condamnés par la justice dominicaine en 2015 à vingt ans de prison. Depuis, leurs destins se sont séparés. Les pilotes sont parvenus à s'enfuir clandestinement vers la France. Ils seraient passés par Saint-Martin puis la Martinique dans des circonstances qui restent floues. Les interrogatoires de ces deux anciens de l'aéronavale et de l'Armée de l'air aux casiers judiciaires vierges sont parmi les plus attendus dans la centaine de témoignages et d'auditions d'experts programmés au long des sept semaines de procès. Nicolas Pisapia, le dernier à se trouver en République Dominicaine, sous contrôle judiciaire avec interdiction de quitter l'île, et Alain Castany, un septuagénaire qui a pu être rapatrié par la voie légale en France mais trop souffrant pour comparaître, ont obtenu la disjonction de leur cas, et devraient être jugés ultérieurement. M. Castany a été définitivement condamné en République Dominicaine et ne doit plus être jugé que pour association de malfaiteurs. Des peines allant jusqu'à 30 ans de réclusion criminelle sont encourues au terme de ce procès, le plus important de l'année devant la cour d'assises à Aix-en-Provence. Il doit durer jusqu'au 5 avril.

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